JRSA 2021: l’Académie Nationale des Sciences et Techniques du Sénégal aborde l’Édition Génomique


JRSA 2021 : l’Académie Nationale des Sciences et Techniques du Sénégal aborde l'Édition Génomique
JRSA 2021 : l’Académie Nationale des Sciences et Techniques du Sénégal aborde l'Édition Génomique

À l’occasion de la Journée de la Renaissance Scientifique de l’Afrique(JRSA) célébrée le Mercredi 30 Juin 2021, l’Académie Nationale des Sciences et Techniques du Sénégal (ANSTS) a organisé un symposium à l’auditorium du Musée des Civilisations Noires. Sous l’égide du ministère de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation (MESRI), ce panel est placé sous le thème « édition génomique: enjeux et perspectives. »

Piloté par le Professeur Doudou Bâ (Pharmacien / Chimiste), l’Académie Nationale des Sciences et Techniques du Sénégal (ANSTS) a comme principales missions d’assister et de conseiller l’État dans le domaine des sciences et technologies, d’encourager la recherche scientifique, d’aider à la promotion et à la valorisation des résultats de recherche, de susciter des vocations scientifiques auprès des jeunes et des femmes, et de contribuer au développement de la culture scientifique et au rapprochement entre science et société. C’est dans cette optique que pour la Journée de la Renaissance Scientifique de l’Afrique (JRSA) 2021, les membres de l’ANSTS ont retenu le thème : “édition génomique: enjeux et perspectives ».

L’édition génomique (EG) est une méthode par insertion ou délétion de séquences de gènes à des sites spécifiques. Le principal enjeu de cette méthode scientifique est la création d’un type d’individu/organisme vivant avec des caractéristiques génétiques hors du commun pouvant faire face à de nombreuses maladies jugées jusqu’ici incurables (VIH Sida, leucémie, diabète, etc.).

Par ailleurs durant ce symposium de la JSRA 2021 de l’ANSTS, le ministère de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation a évoqué la problématique des maladies chroniques que l’on retrouve de plus en plus chez des sujets très jeunes. Selon le représentant du MESRI, ce fléau est dû à la mauvaise alimentation notée dans nos pays. L’heure est alors à la sensibilisation des populations sur une nutrition plus saine.

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