Son état de santé étant au plus bas, le chef du Polisario achemine en urgent à Alger, le voisin de L’Est craint le pire
A Alger, l’inquiétude est grande face à la perspective d’une disparition de l’homme de paille du régime dans le dossier de l’affaire Sahara
En effet depuis Samedi 15 Septembre l’état de santé de Brahim Ghali, nouveau Président du Polisario –Rasd depuis la mort du leader Mohamed Abdel Aziz le 31 Mai 2016 à qui il a succédé s’est brusquement détériorée
Ainsi son ‘’patron’’ et ami, Abdel Aziz Bouteflika dont les apparitions officielles se font de plus en plus rares depuis son accident vasculaire cérébral en 2013, de source concordantes à déployé tous les moyens nécessaires pour son hospitalisation à Alger
Et pourtant son état de santé reste critique avec son transfert noté en fin Aout dernier dont les véritables mobiles est le dopage pour lui re -offrir un minimum de locution et de motricité
Bouteflika a soufflé ses 81 bougies et à cause de son état, sa candidature pour un cinquième mandat reste incertaine, on se souvient d’ailleurs qu’en Février 2017 un déplacement de la Dame de fer de Berlin à la dernière minute a été annulé pour raison d’une bronchite aiguie du Président Bouteflika
Ici la crainte est au beau fixe et la mobilisation de la Présidence algérienne demeure le principal recours avec ses services de renseignements activés
Ainsi du côté du Sahara, plusieurs fois pointée du doigt par ces opposants du front, la maladie dont souffre le Président du Polisario, Brahim Ghali s’agit d’une hépatite C ayant atteint déjà un stade très avancé avec des complications ouvertes à la cirrhose du foie
En effet dès son élection à la tête du front, les informations sur son inaptitude physique avaient fleuri
Ghali a été porté comme Secrétaire General à la tête du Front Polisario et Président de la même Pseudo –Rasd en Juillet 2016 ceci à travers un score stalinien de 93,16% des voix exprimées